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La Splendeur du Pingouin
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Détails sur le produit
Album: 144 pages
Editeur : Urban Comics (5 juillet 2013)
Collection : DC Nemesis
Langue : Français
ISBN-10: 2365772366
ISBN-13: 978-2365772365
Dimensions du produit:
17,1 x 26,4 cm
Moyenne des commentaires client :
4.3 étoiles sur 5
9 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
160.031 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
La splendeur du pingouin, l'histoire de Oswald Cobblepot qui deviendra le pingouin, c'est sombre, à la fois triste et déprimant concernant toutes les phases de son enfance.On aurait presque de l'empathie tant il a subi des moqueries et des humiliations.Le dessin est assez surprenant car on à l'impression de regarder un dessin animé de ces dernières années. En tout cas j'ai pris pas mal de plaisir à le lire tant le personnage était "étranger" pour moi
Une histoire qui tiens bien la route, avec des dessins de peinture et des jeux d'ombres et d'encrages térriblissime, on comprend enfin l'histoire et la création du Pingouin et comment est-il devenus ainsi. Merci DC Comics d'avoir créé cette collection "tâchée" qui reviens avec pas mal de personnages qui sont en soit des pierres angulaires de l'univers de Batman.
Une très belle histoire sur la vie du méchant le plus souvent cité avec le joker dans les Batman une bonne histoire raconte l'intégralité de la vie du pingouin .... Très bien pour les fans beau dessin scénario bien en tout point très sympas comme lecture
La triste histoire d'un grand personnage de l'univers de Batman. Chronique de la vie d'un enfant victime poussé à bout qui finit par craquer et prendre goût au malheur des autres. Un must.
Après la Revanche de Bane, j’attendais avec impatience un nouveau volume de la collection DC Nemesis, mettant en lumière les ennemis de nos héros de l’univers DC. Chose faite avec La Splendeur du Pingouin de Gregg Hurwitz et Szymon Kudranski. Au programme : une plongée dans l’univers du vilain au nez crochu, à la fortune colossale et à la méchanceté sans limite.Il est l’un des plus grands ennemis de Batman, mais également l’un des citoyens les plus en vue de Gotham. Mais la légende du Pingouin s’est bâtie sur une affaire de famille glauque et vicieuse.Le Pingouin ! Voilà un méchant charismatique, malgré son extrême laideur. Personne n’ose le contredire ou se frotter à lui de peur de subir sa méchanceté, sa cruauté, son machiavélisme sans limite. Et on le voit dans ce comics. Le Pingouin s’en prend à 3 personnes, les poussant au suicide en détruisant toute leur vie autour d’eux. Il débite une quantité de cruauté en rien de temps que cela nous fait froid dans le dos. S’amusant presque à détruire ainsi, pièce par pièce, personne par personne, la vie de son ennemi.Mais plus que du dégoût ou de l’horreur pour le personnage, cette histoire m’a fait éprouvé de la pitié, de la peine, voir même de l’empathie pour lui. Lorsque l’on voit son enfance si dure, si difficile, si haineuse et ce dès sa naissance, on ne peut que comprendre, sans pour autant l’accepter, sa haine et sa dureté une fois adulte. Cible de moqueries des autres enfants, de violence de la part de ses trois frères ainés, et surtout de la haine viscérale à son encontre de son propre père. Le petit Oswald a grandit dans un sentiment de crainte et de mépris, de peur et coups, ne trouvant que du réconfort dans les bras d’une mère aimante et (sur)protectrice.J’ai été choqué, en tant que jeune papa, par certaines scènes. Sentiments davantage ressenti grâce aux excellents dessins de Szymon Kudranski, qui arrive à retranscrit avec une criante et malsaine vérité la violence que vit le petit Oswald. Dès lors on s’attend en fait à le voir réagir en grandissant. Ses revanches vont être à la hauteur des blessures subies. Et malgré la cruauté dont il fait déjà preuve, et bien nous, lecteurs, ne sommes au final pas surpris. La violence mène à la violence, et les retours de bâtons sont toujours davantage violents.Mais ce passé n’est là que sous la forme de flashbacks, pour nous faire comprendre pourquoi il agit de la sorte. Il recherche l’amour. Un amour comme celui de sa maman. Un amour dans lequel il puisse se réfugier, il puisse se laisser aller. Et il pense enfin trouver cette personne de Cassandra, jeune aveugle un rien loufoque qui apparaît inopinément dans sa vie. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les sentiments vont être réciproques !Le seul bémol c’est qu’on ne sait pas forcément si Cassandra sait qu’il y est vraiment et ce qu’il fait réellement lorsque Oswald lui dit « jouer ».Ce qui est tragique, c’est qu’inconsciemment, le Pingouin sait qu’il ne retrouvera jamais quelqu’un comme sa mère, il sait qu’il ne pourra jamais vraiment accorder sa confiance à un autre humain, il sait que toute cette effusion de sentiments n’est qu’un feu d’artifice : très beau mais éphémère. Et malheureusement tout cela finira tragiquement de par sa faute. Oswald est un personnage triste et violent, destiné à être seul…Les dessins de Kudranski sont juste époustouflants ! C’est sombre, très sombre, mais cela colle parfaitement à l’univers noir et sans espoir dans lequel baigne Oswald Cobblepot. Surtout, Kudranski nous fait exploser les sentiments que ressentent les protagonistes en plein visage. Un magnifique travail.Comme pour La Revanche de Bane, cette édition d’Urban Comics sur le Pingouin possède une double page nous narrant en vitesse ses origines, avec un récapitulatif de ses capacités et les œuvres les plus importantes où il apparaît.Nous avons ensuite le droit à une courte histoire, issue du Joker’s Asylum, où le Joker, justement, nous raconte une autre rencontre amoureuse et tragique du Pingouin.Bref, La Splendeur du Pingouin est une magnifique surprise. Tant scénaristiquement que graphiquement. Gregg Hurwitz nous fait un portrait sinistrement triste d’Oswald Cobblepot pour lequel naît un sentiment d’empathie total. One ne cautionne pas du tout ses actes mais on les comprend, du moins on comprend pourquoi il agit ainsi. Un récit fort émotionnellement, très dur, très triste, sans espoir, mais qui nous permet de voir le Pingouin d’un autre point de vue dorénavant. A découvrir.
La Splendeur du Pingouin est une pure réussite, autant graphiquement que scénaristiquement, une pure merveille, je le recommande à tous les fans du chevalier noir !
Ce tome regroupe les 5 épisodes de la minisérie parus en 2011/2012, écrits par Gregg Hurwitz et illustré par Szymon Kudranski, ainsi que l'épisode "Joker's asylum : Penguin" écrit par Jason Aaron, et illustré par Jason Pearson (2008), et unze présentation en 2 pages du personnage (extraite des bonus de la série "Countdown to final crisis").Douleur & préjudice - À la naissance, Oswald Cobblepot avait déjà un appendice nasal hors du commun, à tel point que son père découvrant son visage l'a laissé choir par terre. De nos jours, il est connu sous le sobriquet de Pingouin (Penguin). Il dirige un restaurant Iceberg Lounge, ainsi que des opérations criminelles. À ce moment de son existence, il est plus particulièrement intéressé par l'acquisition frauduleuse d'un énorme rubis monté en pendentif, puis d'une paire de boucles d'oreilles assorties. Cet intérêt est lié à la situation d'Esther Cobblepot (sa mère) et au fait qu'il souhaite lui faire plaisir. Il se remémore les souvenirs les plus marquants de son enfance, sa relation avec sa mère, l'ostracisation imposée par ses camarades, la relation entre son père et sa mère. Lors d'une de ses visites régulières au zoo, il aide Cassandra, une jeune aveugle, à se débarrasser de jeunes garçons tournant en dérision son infirmité. C'est le début d'une belle amitié (et plus si affinités).Premier avertissement : prévoyez une source lumineuse puissante pour lire cette bande dessinée. Szymon Kudranski s'est fait connaître en dessinant les aventures du nouveau Spawn (Jim Dawning) à partir de Liens de sang. Il réalise ses illustrations à l'infographie. Il aime beaucoup le noir, et son coloriste (John Kalisz) réalise des camaïeux également assez sombres. Le style de Kudranski peut être un peu énervant de temps à autre car il affectionne particulièrement les personnages sur fond totalement noir. Malgré tout ses compositions de page permettent toujours au lecteur de savoir où se déroule la scène et chaque décor est spécifique avec des particularités propres. Pour ces décors, il a recours à l'infographie de différentes manières : soit pour insérer une photographie retouchée en arrière plan, soit pour inclure un motif géométrique sur un sol ou un mur, soit pour rendre flou l'arrière plan comme si le réglage était prévu uniquement pour le premier plan.Kudranski n'est pas un adepte du photoréalisme à tout prix, il compose chaque case pour y mettre certains éléments réalistes, mais sans risque de surcharge visuelle pour le lecteur. Par contre, le recours à des teintes sombres donne l'impression au lecteur de devoir lutter pour distinguer les formes dans certaines cases. Au final, Kudranski donne une apparence crédible à chaque personnage, optant pour les rendre tous réalistes, en minimisant tous les éléments propres aux superhéros. Les combats sont brutaux et les gadgets technologiques sont à la fois inventifs, tout en restant assez maîtrisés pour s'inscrire dans une réalité pas trop éloignée de celle du lecteur, et pas trop infantile.Deuxième avertissement, Hurwitz dépeint le Pingouin comme un vrai criminel endurci (et un peu troublé mentalement) qui dirige ses opérations sans entraves morales. Il expose les fondamentaux du personnage pour un lectorat plutôt adulte. Il suffit de savoir par exemple que les relations entre Oswald et maman Cobblepot ne sont pas très saines. Sans tomber dans l'inceste, Hurwitz indique sans montrer qu'Oswald n'a pas très bien digéré son Oedipe. Il développe également le fait qu'Oswald était la risée de ses camarades et leur souffre-douleur du fait de son apparence particulière. Hurwitz sait raconter cet aspect sans tomber dans les clichés inhérents à un enfant qui se fait maltraiter par ses camarades. Il montre les 2 aspects d'Oswald Cobblepot : le parfait gentleman, et l'homme d'affaires cruel qui a un don inné pour faire souffrir ceux qui sont sur son chemin. Ce dernier point donne lieu à des scènes éprouvantes dans lesquelles Cobblepot explique à la personne en face de lui comment il s'est remboursé de l'affront qu'il a subi, comment tout ce qui était cher à la personne a servi à payer. Hurwitz insère également quelques rares pointes d'humour noir, et quelques dialogues sarcastiques (une popstar qui fait le nécessaire pour que "plus jamais d'autres oreilles ne souffrent comme les siennes").D'un autre coté, Hurwitz sacrifie à quelques codes propres à ce genre de récit. La minimisation des aspects superhéros (malgré 2 apparitions de Batman) lui permet de renforcer les aspects les plus sinistres et dérangés de la personnalité d'Oswald Cobblepot, sans que jamais sa silhouette ou ses parapluies ne lui fassent perdre de crédibilité, ne le renvoient dans le rôle du supercriminel coloré, aux gadgets idiots. De l'autre, cela signifie que ce récit devient plus un polar dans lequel quelques clichés deviennent inévitables, tels une police à l'inefficacité catastrophique, ou des meurtres à gogo sans que les criminels ne soient inquiétés. C'est la raison pour laquelle je ne mettrais que 4 étoiles à cette histoire.-Joker's asylum : Penguin - Afin d'augmenter le nombre de pages et d'arrondir le prix, DC Comics a rajouté une histoire de tonton Joker qui explique que les filles se moquaient d'Oswald au lycée et qu'il ne fait pas bon froisser ou irriter Oswald maintenant qu'il est un adulte capable de se défendre et de rendre les coups vicieusement et au centuple.Il s'agit en fait d'exactement la même trame que celle d'Hurwitz (moins la figure de la mère). Jason Aaron a écrit un scénario ramassé et rapide autour d'une histoire où le caractère dérangé du Pingouin transparaît pleinement. Les illustrations de Jason Pearson sont incroyables d'expressivité et de moquerie, avec une exagération à la Kyle Baker irrésistible. 5 étoiles pour une histoire rapide pétrie d'humour noir et de méchanceté.Pour l'anecdote, il est amusant de voir que DC Comics a réuni dans un même recueil la minisérie de 2011 (post-Flashpoint), et une histoire d'avant ce point de rupture dans la continuité de DC Comics (sans parler de la double page de présentation du Pingouin, inutile et obsolète).
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